Notre action

  • Une approche unique à 360°
Notre approche

Happy child better future

Pour grandir et s’épanouir, un enfant doit se sentir bien dans sa peau. C’est pourquoi nous aidons au maximum l’enfant au sein de son environnement familial. Il ressort en effet de l’expérience maintes fois vécue qu’il est fondamental d’impliquer les parents, frères et sœurs.

Notre aide procède d’une approche à 360° autour de quatre piliers :

  • Alimentation
  • Santé
  • Éducation
  • Développement personnel

Nous créons un environnement favorisant une croissance physique, mentale et psychologique équilibrée. C’est la seule manière d’extirper de la rue les enfants issus de familles pauvres et de rompre le cercle vicieux de la pauvreté.

Cliquez sur l’illustration pour en savoir plus sur un pilier.

Pablo
Notre port d’attache

Santa Cruz, la plus grande ville de Bolivie

+ de 30 ans d’activité

+ de 30 ans d’activité

Merci à tous nos donateurs, parrains et sympathisants grâce auxquels nous pouvons œuvrer quotidiennement.

Fundacion Niño Feliz

Fundacion Niño Feliz

Dès l’origine, il fut décidé de s’appuyer sur du personnel local pour assurer la gestion des activités en Bolivie.

Happy child better future

Happy child better future

Le sourire et la fierté d’un enfant recevant son diplôme … un petit miracle à chaque fois !

Santa Cruz, la plus grande ville de Bolivie
Bolivia

La pauvreté est néfaste

La Bolivie est le pays le plus pauvre d’Amérique du Sud. Officiellement, le chômage ne s’élève qu’à 3,5 % de la population, mais ce chiffre cache une réalité bien moins favorable et on estime que le taux de grande pauvreté se situe entre 30% et 40% de la population.

La Bolivie est une société multi-ethnique constituée d’indiens, métis (espagnols/indiens), européens et africains. Les descendants des espagnols vivent principalement dans la région de Santa Cruz. Cette ville tentaculaire compte plus d’1,5 millions d’habitants et attire massivement les populations pauvres des hauts plateaux. Alors que le centre ville présente de plus en plus le visage de toutes les grandes villes du monde, avec une hôtellerie de luxe, des centres commerciaux, etc, la périphérie est parsemée de zones de pauvreté extrême, lesquelles constituent donc le champ d’action de Niño Feliz.

Le travail est autorisé en Bolivie dès l’âge de 10 ans. Pour de nombreuses familles, le travail des enfants s’avère économiquement indispensable. Les dernières estimations du International Labour Organisation font état d’un taux de plus de 20% des enfants de 10 à 14 ans qui sont mis au travail, souvent dans l’économie informelle et pour des emplois très mal rémunérés.

Être parrain

En tant que parrain, vous changez le monde

Par votre parrainage, vous offrez à un enfant une chance qu'il n'aurait sinon jamais obtenue, vous permettez à une famille de croire à l'existence d'un monde meilleur, vous aidez à combler le fossé entre riches et pauvres, vous montrez qu'il existe une autre voie que celle de l'égoïsme et du matérialisme. En un mot, vous œuvrez pour l'avenir de ce monde.

Les parrains Julie Mahieu et Jonas Geirnaert

L’encadrement des enfants par Niño Feliz se base sur une approche globale. Ceci signifie qu’il ne suffit pas de donner quotidiennement un repas chaud. Les enfants sont aidés sur bien d’autres plans, et les familles sont invitées à s’impliquer dans la démarche, avec la perspective d’un avenir meilleur. Une assistance psychologique, sociale et pédagogique est assurée de manière personnalisée, et des cours sont donnés en matière de santé, d’alimentation, de gestion des finances familiales, d’éducation et d’entrepreneuriat par exemple.

Niño Feliz est ancré dans notre cœur et nous espérons qu'il en est de même pour vous. Nous vous invitons à soutenir cette œuvre et, qui sait, à lui rendre visite un jour. Julie Mahieu et Jonas Geirnaert

Histoire

L’engagement est une grande richesse

Fin octobre 1990, le père Luc Casaert, alors âgé de 50 ans, prêche à Tielt pour la journée des Missions. Il venait de sa paroisse de San Martin de Porres, un quartier de Santa Cruz en Bolivie. Il y est chaque jour confronté à une pauvreté extrême. Il aide ses paroissiens démunis avec ce qu’il a, mais il veut en faire davantage. A Tielt, il demande donc de le soutenir.

Je traversais moi-même un période difficile à cette époque. Le père Luc m’a écoutée. Attentivement. Patiemment. Avec bienveillance.

L’enthousiasme et la ferveur de son discours agirent en moi comme une étincelle. Avant même de bien réaliser ce qui m’arrivait, j’organisais une action de solidarité au profit du service social que le père Luc souhaitait mettre sur pied. Je ne l’oublierai jamais : nous avons récolté plus de 100.000 francs. J’en éprouvai un sentiment indescriptible de gratitude. A ce moment-là, je n’imaginais pas que ce deviendrait ma « vocation » : aider les enfants pauvres de Bolivie à s’extraire de la misère.

Peu après, le père Luc m’invita en Bolivie. Pour voir de mes yeux ce qu’étaient les besoins sur place. Il fallait alors pas moins de deux jours, avec plusieurs escales, pour arriver en Bolivie. Quelque peu aventureux, surtout pour une femme seule. Pas de gsm, pas d’internet… Pouvais-je quitter mes trois jeunes enfants durant plusieurs semaines ? Didier, mon mari, m’encouragea à ne pas renoncer à cet appel. C’est donc le cœur serré, mais débordant d’attentes, que je m’envolai vers la Bolivie. Je me disais que si je réussissais à sauver une seule famille de la misère, mon voyage serait réussi. Ce fut le commencement d’une incroyable période de ma vie.

Je suis particulièrement reconnaissante pour l’amitié sincère et profonde du père Luc. Pour le bonheur que je vois dans les yeux de tant d’enfants boliviens. Pour les larmes de joie de nos diplômés. Pour la chaleur des remerciements des parents dont les enfants sont accueillis à la Fondation. Pour l’énergie que me transmet l’équipe bolivienne. Et aussi pour avoir croisé la route de tant de personnes désintéressées prêtes à venir en aide aux enfants d’un pays lointain !

Les difficultés n’ont pas manqué durant ces 26 années. Résolument croire en ce qu’on fait, s’entourer de gens de bonne volonté, accepter que toutes les initiatives puissent ne pas être un succès,… voilà en ce qui me concerne le secret d’un engagement durable. Il m’arrive d’avoir du mal à réaliser à quel point nous avons pu aider tant de personnes au cours de ces 30 années. Et au plus profond de mon cœur, j’ai le sentiment d’avoir davantage reçu que donné.

Marie-Christine Viaene, présidente Niño Feliz vzw

Niño Feliz s’appuie sur deux socles

L’asbl belge Niño Feliz a été fondée en 1992 par Marie-Christine Viaene et le Père Luc Casaert. En 1993, l’asbl est agréée par le Ministère des Finances pour la délivrance d’attestations fiscales.

La gestion journalière de l’asbl est assurée par Marie-Christine, assistée d’une collaboratrice à mi-temps et de quelques bénévoles.

Dès le commencement, l’option fut prise de développer la structure bolivienne en faisant appel aux compétences locales. L’actuelle présidente de la Fundación Niño Feliz, Teri Aspaziu de Nazra†, est impliquée dans le projet depuis le premier jour. Le projet connaît une croissance spectaculaire, conduisant à lui conférer le statut de Fundación reconnue en 1996 par les autorités boliviennes. La Fundación compte une soixantaine de collaborateurs : assistants sociaux, psychologues, enseignants, personnel de cuisine, etc.

(photo: Père Luc Casaert, fondateur - Marie-Christine Viaene, présidente Niño Feliz Belgique - Teri Aspuziu de Nazra†, présidente Fundación Niño Feliz)

Niño Feliz s’appuie sur deux socles
Collecte éthique de fonds

Collecte éthique de fonds

L’asbl Niño Feliz est agréée de manière ininterrompue depuis 1993 par le Ministère des Finances pour la délivrance d’attestations fiscales permettant de bénéficier d’une réduction d’impôt. Le dernier contrôle, effectué en 2019 et validé jusque 2025, a pu établir que les frais administratifs s’élèvent à seulement 1,6 %, soit largement sous les 20 % légalement autorisés.

Afin limiter les coûts au plus bas, le bouche à oreille de nos parrains, donateurs, sympathisants, bénévoles est de première importance pour promouvoir notre action.

Niño Feliz peut compter en outre sur la philanthropie de quelques personnes pour financer de grands projets (tels que Casitas et Arte)

MERCI À TOUS CEUX QUI SOUTIENNENT NOTRE PROJET !